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Ce que j’aime avec Dragonball c’est que par rapport à tant de Manga qui s’étendent sur des dizaines et des dizaines de volumes, ici on est déjà au cinquième tome et le second arc (Zamasu) se termine! Toriyama a toujours aimé jouer sur les espaces-temps (jusqu’à nous présenter par un schéma les différents chevauchements de temporalité) sans se formaliser avec les invraisemblances et Deus Ex Machina tous plus gros les uns que les autres. Cela fait trente ans qu’il balade ses lecteurs dans des combats toujours impossibles, où les héros n’ont de cesse de monter en niveau devant un adversaire invincible, à affronter des dieux, des rois de dieux, etc… et le pire c’est qu’on marche encore et qu’on en redemande!
Ce volume est donc à cheval entre la fin de l’épisode Zamasu et le début du tournoi des univers qui rassemblera à la demande de Maître Zen-o (le seigneur de tous les univers) les champions des douze univers. Avec un retour attendu du désormais mythique Monaka (!!). C’est donc moins baston, un peu plus d’humour à la sauce n’importe quoi et on revoit des personnages étrangement disparus de la circulation (la Goku family). Bref, business as usual mais j’adore et je continue jusqu’à la fin des temps…
Lire sue le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/12/08/sushi-et-baggles-6/
San Goku et Végéta ont fusionné grâce aux potolas, espérant ainsi battre Goku Black et Zamasu, qui ont fusionné eux-aussi. L'espoir est cependant bien mince, puisque leur ennemi est apparemment immortel.
Ce volume clôt le cycle "Goku Black" et c'est tant mieux. Non pas que ce dernier était inintéressant, au contraire, mais on sentait que ça commençait à devenir de plus en plus n'importe quoi et que tout aurait pu très vite dérailler. Toriyama semble donc avoir appris de ses erreurs et ne reproduit pas les mêmes erreurs qu'avec les cycles Cell et Boo dans DB, qui s'enlisaient dans des histoires à rallonge de plus en plus capillotractées. Bref, ce cycle "Goku Black", même s'il se termine de manière un peu facile (la victoire s'acquiert presque par hasard, et n'est due ni à San Goku, ni à Végéta, qui n'ont en fait rien pu faire), a le mérite de ne pas être trop long et c'est en ça qu'il est très appréciable !
Après quoi l'album se termine par le début d'un nouvel arc scénaristique qui n'est pour l'instant pas très intéressant, puisqu'il est une nouvelle fois basé sur un Tournoi Galactique des Arts Martiaux entre tous les univers. Gageons toutefois que ce tournoi ne devrait être qu'un prétexte pour lancer le vrai prochain cycle de la série qui, espérons-le, sera aussi dynamique et rigolo (oui oui !) que cet arc "Goku Black". Et prions pour que San Goku garde cette fraîcheur, ce manque de tact et ce caractère totalement irresponsable qui, malgré la puissance du personnage, le rendent si drôle et si attachant !
Ce que j’aime avec Dragonball c’est que par rapport à tant de Manga qui s’étendent sur des dizaines et des dizaines de volumes, ici on est déjà au cinquième tome et le second arc (Zamasu) se termine! Toriyama a toujours aimé jouer sur les espaces-temps (jusqu’à nous présenter par un schéma les différents chevauchements de temporalité) sans se formaliser avec les invraisemblances et Deus Ex Machina tous plus gros les uns que les autres. Cela fait trente ans qu’il balade ses lecteurs dans des combats toujours impossibles, où les héros n’ont de cesse de monter en niveau devant un adversaire invincible, à affronter des dieux, des rois de dieux, etc… et le pire c’est qu’on marche encore et qu’on en redemande!
Ce volume est donc à cheval entre la fin de l’épisode Zamasu et le début du tournoi des univers qui rassemblera à la demande de Maître Zen-o (le seigneur de tous les univers) les champions des douze univers. Avec un retour attendu du désormais mythique Monaka (!!). C’est donc moins baston, un peu plus d’humour à la sauce n’importe quoi et on revoit des personnages étrangement disparus de la circulation (la Goku family). Bref, business as usual mais j’adore et je continue jusqu’à la fin des temps…
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San Goku et Végéta ont fusionné grâce aux potolas, espérant ainsi battre Goku Black et Zamasu, qui ont fusionné eux-aussi. L'espoir est cependant bien mince, puisque leur ennemi est apparemment immortel.
Ce volume clôt le cycle "Goku Black" et c'est tant mieux. Non pas que ce dernier était inintéressant, au contraire, mais on sentait que ça commençait à devenir de plus en plus n'importe quoi et que tout aurait pu très vite dérailler. Toriyama semble donc avoir appris de ses erreurs et ne reproduit pas les mêmes erreurs qu'avec les cycles Cell et Boo dans DB, qui s'enlisaient dans des histoires à rallonge de plus en plus capillotractées. Bref, ce cycle "Goku Black", même s'il se termine de manière un peu facile (la victoire s'acquiert presque par hasard, et n'est due ni à San Goku, ni à Végéta, qui n'ont en fait rien pu faire), a le mérite de ne pas être trop long et c'est en ça qu'il est très appréciable !
Après quoi l'album se termine par le début d'un nouvel arc scénaristique qui n'est pour l'instant pas très intéressant, puisqu'il est une nouvelle fois basé sur un Tournoi Galactique des Arts Martiaux entre tous les univers. Gageons toutefois que ce tournoi ne devrait être qu'un prétexte pour lancer le vrai prochain cycle de la série qui, espérons-le, sera aussi dynamique et rigolo (oui oui !) que cet arc "Goku Black". Et prions pour que San Goku garde cette fraîcheur, ce manque de tact et ce caractère totalement irresponsable qui, malgré la puissance du personnage, le rendent si drôle et si attachant !