1. La Favorite | Chezbigben | Très bon état | 60.00€ | |
1. La Favorite | vpourvendetta | Comme neuf | 35.00€ | |
1. La Favorite | xof 24 | Très bon état | 30.00€ | |
1. La Favorite | PHILGUZZ | Très bon état | 30.00€ | |
1. La Favorite | rastahobbit | Très bon état | 28.00€ | |
1. La Favorite | fanfan_vp | Bon état | 20.00€ | |
1. La Favorite | pipat | Très bon état | 3.00€ | |
1a2005. La Favorite | GOYOT JEAN-PAUL | Très bon état | 9.00€ | |
1a2005. La Favorite | PHILGUZZ | Très bon état | 7.00€ | |
1a2005. La Favorite | Chezbigben | Etat moyen | 6.00€ | |
1a2005. La Favorite | tv69 | Très bon état | 6.00€ | |
1a2005. La Favorite | xof 24 | Très bon état | 6.00€ | |
1a2005. La Favorite | crassou74@hotmail.fr | Comme neuf | 6.00€ | |
1a2005. La Favorite | laupier | Très bon état | 5.00€ | |
1a2005. La Favorite | lodeb | Très bon état | 5.00€ | |
1b2021. La Favorite | danibou | Comme neuf | 25.00€ | |
1ES. La Favorite | JBBD | Très bon état | 7.00€ | |
1ES. La Favorite | rastahobbit | Bon état | 5.00€ | |
1ES2. La Favorite | Chezbigben | Etat moyen | 6.00€ | |
1ES2. La Favorite | lodeb | Comme neuf | 5.00€ |
Info édition : Noté "Première édition". Pas de mois de DL, celui noté ici correspond à la date de sortie.
Info édition : Noté "Sixième édition". Pas de mois de DL. Pavé du code-barres différent de l'EO.
Info édition : Noté "Treizième édition". Contient un carnet d'aquarelles intitulé "Djinn Intime."
Info édition : Sur le 4è plat : Édition spéciale 2016 à 4,99€.
La beauté de ces femmes de harem dans la Turquie du début du 20ème siècle; Constantinople, ville magnifique, ayant pour cadre cette histoire. On est très vite happé par une histoire dans une ambiance magique et captivante. Cela nous permet également de découvrir une Istanbul ensorcelante au coeur d'une sensualité orientale.
J’aime bien le scénariste Dufaux que je considère comme l’un des meilleurs car très bien documenté. Il y a le souci du réalisme. Les personnages sont sans concession avec certes un bon brin de libertinage. Un bémol cependant: Dufaux signe à chaque fois la préface de son album et en révèle parfois un peu trop sur l'histoire.
La lecture demeure un peu délicate car il y a l'histoire de deux femmes à des époques différentes qui se superpose. Kim Nelson part sur les traces de sa grand-mère Jade qu'elle n'a pas connue. Le destin de ces deux femmes d'exception va nous tenir en haleine. Un lien spécial semble les lier.
Du très beau dessin également qui suscite l’admiration tant les corps sont parfaitement maîtrisés. Rien de racoleur sauf pour âme charitable préférant baigner dans le manga féminin avec ses petites minettes pré-pubaires! Ici, que de la grâce et du charme pour peu qu'on aime l'exotisme! :8 Bref, on ne tombe jamais dans la vulgarité.
Le second cycle se déroule dans une Afrique dangereuse et torride. C’est tout un autre univers qui est exploré pour la plus grande joie des lecteurs même si cela paraissait déroutant au premier abord. Cette Afrique est inquiétante avec ses sorciers et cette magie noire. Cependant, cette Afrique est également magnifique avec sa beauté sauvage.
Le troisième cycle va nous emmener dans les Indes totalement envoutantes et sensuelles où notre Djinn devra faire l'éducation sexuelle de la future épouse d'un Maharadjah afin de le contrôler à des fins purement politiques sur fond de colonisation anglicane. Chronologiquement, l'action se passe après le premier cycle mais avant le second. Cela m'a un peu perturbé car nous retrouvons des personnages dont on connaît par avance leur sort funeste. Le dessin est toujours aussi soigné avec une mise en couleur tout à fait délicieuse pour les yeux.
Djinn s'est enfin terminé avec le tome 13 près de 15 ans après le début de l'aventure. On fait un retour sur Kim Nelson. C'est le dernier tome du cycle indien mais qui fait le lien avec le cycle africain. On va avoir droit à un final assez digne de cette saga. On est surtout marqué par une certaine nostalgie de quitter cet univers et ces personnages féminins hors normes. On entendra encore sonner longtemps les fameuses clochettes du désir !
Une collection véritablement envoûtante avec un superbe graphisme fin et élégant et un scénario relevant du grand art !
Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4.5/5 – Note Globale : 4.5/5
Dufaux est auteur extrêmement prolifique, touche à tout. Trop sans doute: il y a dans sa bibliographie des œuvres majeures (Murena, Giacomo C), des œuvres mineures… et il y a Djinn.
Je n'ai pas cité Murena et Giacomo C en référence sans raison. Dufaux excelle dans les reconstitutions historiques soignées. Aussi, je m'attendait à découvrir avec ce Djinn la cour du sultan ottoman en 1912, une découverte du mystérieux harem, des intrigues de cour documentées et sophistiquées… Il n'en est rien. L'introduction de l'auteur laisse d'ailleurs planer le doute: entre fidélité historique et clichés (sic), de quel côté la balance va-t-elle pencher?
L’ambiguïté ne dure pas: la reconstitution historique est inexistante. Le fameux harem n'apparait que sur quelques rares pages. Tout le reste n'est qu'un salmigondis mêlant une chasse au trésor aux temps modernes (prétexte pour soumettre l'héroïne à toutes sortes de sévices soit-disant érotiques) et un vague complot à l'époque du "sultan noir" Murati, lequel n'a jamais existé (en 1912 le sultan ottoman est Mehmed V et il n'a plus guère de pouvoir).
Bref, loin d'une reconstitution historique soignée, Dufaux nous sert une ratatouille inintéressante, prétexte à dénuder non pas une mais deux héroïnes à deux époques différentes. Pourquoi pas, après tout. Le problème, c'est que si Dufaux est très bon pour les intrigues historiques, il ne brille manifestement pas dans le style érotique… Le trait de Mirallès (au passage, comment une femme a-t-elle pu accepter de dessiner un ouvrage aussi caricaturalement machiste, ça me dépasse!), n'aide guère. Autant ses personnages masculins sont soignés et leurs traits variés, autant les personnages féminins se ressemblent un peu tous… Les dialogues ne sont pas non plus très inspirés… Du coup, on baille (et ce n'est pas vraiment le but recherché par une série censément érotique), on se gratte la tête devant l'accumulation de clichés, et au final on s'ennuie ferme.
J'ai tenu jusqu'au milieu du 3e album. Et vous?
Je conseille vraiment la lecture de cette série, le harem nous fait voyager dans le temps et les sensations sont fortes. Pour un premier épisode : 9/10, excellent
Le trait doux et chaud d'Ana Miralles, ainsi que la narration maitrisée et distinguée de Jean Dufaux, font de cet album un début de série très prometteur. Le harem reste un thème assez mystérieux et envoûtant. Mais il faut avouer que l'intrigue reste pimentée par la pointe d'érotisme qui plaira sans doute à beaucoup, mais pourrait déplaire à d'autres.
Les couleurs chaudes et le dessin très sensuel sont parfaitement adaptés au ton de cette série, très empreint d'érotisme. Dans ce premier opus, jeux de pouvoirs et jeux de séduction sont au menu d'un scénario dont l'action se situe à Istanbul à deux époques distinctes (de nos jours et au début de la Première Guerre Mondiale). L'intrigue est pour l'instant un peu légère (dans tous les sens du terme), l'héroïne pas franchement charismatique, mais la qualité des dessins fait qu'on a quand même envie de savoir comment tout ça va évoluer au second tome. Laissons donc une chance à cette série, et attendons le prochain volume !
Je ne regrette pas de m'être laissé tenter par ce premier tome. Le dessin est très bon, la couleur sublime, et l'érotisme assumé comme moteur principal de l'oeuvre est très bien maîtrisé. Quant au scénario, il laisse entrevoir une enquête entre deux temps aux nombreux rebondissements. Les transitions entre les deux époques sont d'ailleurs fluides, claires et remarquables de subtilité. En bref, ma curiosité est aiguisée.
J'ai trouvé bien peu d'intérêt à cette histoire non pas qu'elle soit mal écrite mais le scénario est trop plat pour nous captiver. J'attendais peut-être autre chose de la part des auteurs.
Les dessins sont effectivement très beaux.
6/10
L'histoire de cette série, se passe de deux façon, la première celle se passant en 1912, et la seconde à notre époque.
Les deux histoires se situent au Moyent Orient, aux alentours d'Istambul.
Kim Nelson une jeune anglaise essaye de remonter les traces de sa grand mère, Jade, qui était en 1912 la favorite du sultan.
Dans cette meme époque, Lord Nelson et sa femme font la connaissance pour la première fois du sultan et de Jade.
Un dessin joli qui permet d'apprécier la série.
Un avis valable pour le premier cycle en fait.
Il semble que je sois un des rare à ne pas avoir apprécier ces albums. Si le graphisme est superbe il semble un peu trop évident que les auteurs voulaient dessiner des nus. Je rejoins un autre avis que j'ai lu ici : ça fait penser à un vieux film érotique; c'est vrai, on y retrouve les clichés, le sexe complètement omni-présent, les femmes superbes et faciles, les hommes toujours très baraqués et une histoire plutôt légère, très loin de l'aspect historique que pouvait laisser penser le début de l'album.
Pourquoi ne pas avoir assumé et avoir produit une BD adulte ?
Bref, aux amateurs.
Sur fond historique, la quete d'une jeune Anglaise dont la grand-mère était la favorite d'un sultan. Desservi par un beau dessin et des couleurs chaudes, l'histoire nous emmène dans une lointaine Turquie. Excellent.
Bienvenue dans l'unviers d'un harem. Dufaux nous propose de suivre le destin de deux jeunes femmes : la première, Jade, est la favorite du sultan Murati. Elle attise les convoitises, elle fait perdre la raison aux hommes, mais elle est aussi experte pour envouter les femmes. Elle a le pouvoir. La deuxième est Kim, la petite fille de Jade. Elle part à la recherche de cette étrange grand-mère. Mais pour y arriver elle va devoir se plonger dans le coeur des harems, elle va devoir faire don de son corps.
Dufaux nous emmenène dans un univers mystérieux, où les hommes sont à la merci des femmes. Un univers où les femmes agissent sur la politique, font vaciller des états.
Seule une femme pouvait dessiner cet univers, peut-être, toujours étant que c'est avec une grande sensualité que Ana Mirallès nous emmenène dans cette Turquie du début du siècle. Le trait est précis et les couleurs très chaudes.
Un début de série prometteur.