Blake et Mortimer (Les Aventures de)
10. L'affaire du collier
Une BD de Edgar Pierre Jacobs chez Blake et Mortimer - 1991
09/1991 62 pages 2870970250 Grand format 7661
Olrik qui défraye la chronique des faits divers et se transforme tour à tour en passe muraille et en gentleman cambrioleur, voilà qui ne laisse pas d'étonner Blake et Mortimer ! Ces derniers se sont rendus à Paris pour une confrontation avec leur vieil ennemi au Palais de Justice. Mais le colonel, par un magistral tour de passe-passe et l'utilisation de complice extérieur, réussi à fausser compagnie à ses geôliers avant d'arriver au Palais. L'histoire ferait presque sourire nos deux Anglais, si le colonel ne les mettait au défi de l'arrêter avant... Lire la suite
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Tome 1 -
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Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
HS1 -
HS2 -
HS3 -
HS3 SupHC -
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INT -
INT1 -
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INT4TT -
INT5 TL1 -
INT6 -
INT6a -
INT7 TT
Très bon album!
Même si les dessins sont moins précis, l'histoire est une franche réussite. A l'instar de "l'Affaire Francis Blake" (une autre affaire!) il n'y a pas de sciences fiction et ça fonctionne très bien quand même.
Un excellent album, aux dessins parfaits.
Après celui là, plus rien ne sera comme avant. La série va ensuite décliner.
Jacobs a régulièrement subi les foudres des critiques et de la censure (pour ses scénarios apocalyptiques, ses vignettes copieuses, l'absence de femmes dans les scénarios, etc...).
Il a donc concocté un scénario plus consensuel, moins morose, et sans SF.
Cela n'a pas empêché certains pisse-froids de critiquer cette histoire, lui reprochant l'absence de tout ce qu'ils avaient critiqué dans les précédents !
Au final cet album est graphiquement très réussi, et très plaisant à lire. Au début des années 60, le polar est très présent à l'écran (la série du Gorille, les Tontons flingueurs, les films de truands de Jean Gabin et Lino Ventura...) et cet album évolue dans cette vague.
Cet album est une réussite.
Mineure, dans la série des aventures de Black et Mortimer, mais une réussite quand même.
Avec des tentatives pour aider l'auteur à le dessiner (certains personnages féminins, au début de l'album, sont dessinés par quelqu'un d'autre, le papa de Dan Cooper si je ne m'abuse), mais de la main du maitre tout de même, qui maitrise parfaitement son dessin.
J'avoue que je suis surpris par la lecture de cet album. N'étant pas un grand fan de B. et M., je le reconnais, voilà une histoire que j'ai dévorée d'une traite sans pause. Alors que d'habitude je m'y attelle en plusieurs fois, tellement je trouve ça pénible à lire...
Sans doute le cadre parisien des années 50 y est pour quelque chose. Peut-être aussi, aucune séquence de "savant fou" ne vient polluer la narration. Et puis il me semble que les commentaires narratifs sont moins longs et moins omniprésents. Jacobs commence seulement à moins prendre ses lecteurs pour des ilotes !...
Bien sûr il y a encore l'indéboulonnable Olrik, mais l'ambiance polar de cet album me convient beaucoup mieux qu'un navet comme "l"énigme de l'Atlantide" par exemple...